Mental dans le rugby : et si l’on s’inspirait de ce qui se fait de mieux à l’étranger ?
Voici en extrait le retour de Simon Barrué-Belou, prépa physique et kiné français, qui fait le point sur le fonctionnement des staffs professionnels en Nouvelle-Zélande. Intéressant, non ?
Extrait :
« Rugbyrama: Vous parlez beaucoup d’innovation et d’ouverture vers les compétences extérieures. Pouvez-vous l’illustrer ?
Simon Barrué-Belou (prépa physique et kiné du Stade Toulousain):
Les néo-zélandais ont bien compris qu’il fallait utiliser de nombreux supports et compétences à son service afin de simplement limiter au maximum la part aléatoire. Ensuite, il y a une place importante donnée à la préparation mentale, au développement personnel et à la prise en compte de tout l’environnement des joueurs. On peut voir par exemple, dans des staffs, une personne en charge du développement personnel qui est à temps plein dans le club. Mais également des préparateurs mentaux qui interviennent beaucoup sur ce qu’ils appellent des « mental skills », du travail d’imagerie motrice, de visualisation, etc.
Ils ont des créneaux de travail individuel ou par groupe de joueurs au cours de chaque semaine. »
Article intégral dans rugbyrama.fr
Retrouvez l’article complet ici :